dimanche 3 août 2014

La Vérité pure et dure sur un Crime appelé Canada.

La Vérité pure et dure sur un Crime appelé Canada.

 

Margaret Sepass  a été violée et ensuite battue à mort par un prêtre Anglican qui s’appelle John Warner le 5 décembre 1969 dans l’école indienne St Michael à Alert Bay, en Colombie Britannique. Margaret avait 9 ans. Le lieu de sa dépouille n’est pas connu à ce jour, et John Warner n’a jamais été inculpé.
Le 5 janvier 1938, Albert Gray a été battu à mort par le Révérend Alfred Caldwell, de l’Eglise Unie du Canada, après qu’Albert ait pris un pruneau dans une corbeille sans demander la permission. Albert avait 11 ans. Son corps a été enterré en secret derrière l’école indienne d’Ahousat et Alfred Caldwell n’a jamais été inculpé.
Le 3 avril 1964, Richard Thomas a été sodomisé et ensuite étranglé à mort par le prêtre catholique Terence Mc Namara dans l’école indienne à Kuper Island. Richard a été enterré en secret dans un verger au sud de l’école, et Terence Mc Namara qui est encore en vie n’a jamais été inculpé.
En 1964, Elaine Dick âgée de 6 ans est décédée des suites de coups de pieds portés par une religieuse.
En 1971, Daniel Kangetok âgé de 4 ans a été infecté par la tuberculose et laissé pour mort.
En 1958,  David Sepass âgé de 8 ans a été poussé dans les escaliers, et laissé pour mort.
En mai 1944, un nouveau né Cree a été brûlé vif par un prêtre Catholique de l’école indienne Muscowegan.
En 1959, on a laissé Susan Ball âgée de 5 ans mourir de faim dans un placard.
En 1958, Agnès Bernard âgée de 6 ans est violée dans une tournante en bande,  jusqu’à la mort, à l’école Shubanacadie.
En 1972, Pauline Frank âgée de 8 ans est morte des suites d’une expérience médicale à l’hôpital indien de Nanaimo.
En 1951  à Noël, Albert Baptiste âgé de 9 ans est mort des suites d’un choc électrique par un pistolet d’abattage pour bétail manié par un prêtre catholique.
En 1967, Nancy Joe âgée de 14 ans est décédée des suites d’une expérimentation involontaire sur une drogue à l’hôpital indien de Nanaimo.
En 1964, John Charlie âgé de 8 ans est décédé d’un coup de chaîne porté à la tête par un prêtre catholique.
En 1971, Lorraine White, une adolescente, a été violée dans une tournante  par des membres du personnel de l’Eglise Unie du Canada et laissée pour morte à Port Alberni.
Au cours de l’été 1943, dix-huit enfants Mohawk, tous âgés de moins de seize ans, ont été abattus par des soldats canadiens dans les alentours de Brantford en Ontario.
En décembre 2009, Johnny Bingo Dawson, témoin oculaire de certains crimes ci-dessus, est décédé des suites de ses blessures après avoir été battu par la police de Vancouver.
En Janvier 2012,  Ricky Lavallee, témoin de l’assassinat de J. Bingo, est mort d’un coup porté au thorax.
En Février 2011, William Combes, un témoin oculaire de l’enlèvement de dix enfants par la Reine Elisabeth II à l’école Indienne de Kamloops, a été tué par injection létale à l’hôpital St Paul de Vancouver.
En Février 2007, Harriett Nahanee, premier témoin public dans un cas de meurtre dans un pensionnat meurt de mauvais traitements dans une prison de Vancouver.
En Décembre 2007, Nora Bernard est assassinée. Elle était le premier aborigène au Canada à poursuivre l’église catholique pour des crimes au sein de leurs pensionnats ... et plus de 50 000 autres, tous des enfants.
Aucun n’a jamais été inculpé ou traduit en justice selon le droit Canadien pour tous ces meurtres.  De plus, le gouvernement et les églises criminelles responsables de ces crimes en série ont été légalement absouts (par prescription) de toutes responsabilités selon le droit Canadien.
Rien n’a été guéri.  Rien n’a été reconstitué. La justice a été totalement exterminée comme toutes ces victimes innocentes.
Arrêtez le complot criminel qui s’appelle le Canada ! Rejoignez la République du Kanata et faites tomber ces institutions génocidaires. Juste pour que justice soit faite.

jeudi 24 juillet 2014

Les juges d'application des peines (shérifs) se préparent à arrêter les condamnés des Eglises

Les juges d'application des peines (shérifs)
se préparent à arrêter les condamnés des Eglises : 

Mrs Bergoglio, Pachon et Welby

Le Vatican et la Couronne planifient une contre-offensive


« Il y a des rumeurs selon lesquelles la tête de K. Annett aurait été mise à prix par la Ndrangheta »

Une mise à jour du Tribunal International de Droit Coutumier à Bruxelles,

le 24 juillet 2014, 15H00 GMT (Common Cause News Service et copyright)

De Bruxelles, Rome et Londres

Pour faire suite à l’inculpation par le Tribunal Pénal, des condamnés: le pape François, Jorge Bergoglio, le dirigeant des Jésuites Adolfo Pachon et l’Archevêque de Canterbury Justin Welby le 18 juillet 2014, des Shérifs assermentés par le Tribunal munis de Mandats d’Arrêt sont à la recherche, des trois criminels à Londres et Rome. Messieurs Bergoglio, Pachon et Welby ont été reconnus coupables de trafic d’enfants et de meurtre par une décision de justice unanime du Tribunal rendue vendredi dernier par cinq magistrats, ils sont condamnés à la prison à vie sans possibilité de liberté conditionnelle.
Une porte-parole du Tribunal a déclaré aujourd’hui : « Nos Shérifs ont notifié la condamnation aux  forces de  police en Angleterre, en Italie et au Vatican, et ont demandé leur assistance pour l’arrestation des coupables,  une ordonnance exécutoire du Tribunal leur a été présentée, afin qu’ils se rendent aux autorités et aux shérifs.

En réaction, des sources à Rome et Bruxelles ont informé le Tribunal que le Vatican va lancer une contre-offensive contre le verdict qui comprendra des articles de presse attaquant le Tribunal International  et Kevin Annett afin d’aveugler les médias.
« Vous pouvez vous attendre à une escalade de calomnies contre lui et le Tribunal, y compris de la part des soi-disant médias alternatifs qui perçoivent de l’argent du Vatican. Voici venue l’heure d’une autre grande diversion destinée à masquer votre verdict » a déclaré aujourd’hui un membre du Parti Radical italien.

Les politiciens et les sources de l’Eglise à Rome confirment que le verdict du Tribunal a perturbé le pape qui est « extrêmement préoccupé ». Le dirigeant jésuite Adolfo Pachon, également condamné par le Tribunal, a déjà annoncé sa démission lors du prochain congrès des Jésuites. 
 
A Londres, l’Archevêque Welby s’est enfermé avec ses conseillers le 14 juillet  dernier pour discuter du procès, durant le récent synode de l’Eglise anglicane à Londres. Welby a apparemment décidé de ne pas quitter Lambeth Palace, sa résidence officielle à Londres, et a demandé une protection policière.
Mais le syndicat du crime connu sous le nom de Ndrangheta qui a été publiquement mis en cause par Kevin Annett et le Tribunal comme un acteur majeur dans le trafic d’enfants et les meurtres liés à l’Eglise Catholique, prépare apparemment une réaction plus mortelle.

Selon une source d’un département de la police belge : « Il y a des rumeurs selon lesquelles la tête d’Annett a été mise à prix par la Ndrangheta. Mes contacts disent que c’est planifié avec la Sainte Alliance » (service d’espionnage et d’exécution du Vatican*).

Le Tribunal a prévu de rendre publiques certaines des preuves matérielles qui ont permis de condamner les trois coupables au plus tard le 1er septembre 2014, lorsqu’une Commission permanente sur les Trafics d’enfants et les Sacrifices rituels sera constituée pour enquêter plus en profondeur sur le rôle de la Ndrangheta et des grandes banques dans le blanchiment de l’argent de la drogue, le trafic d’enfants et les meurtres.

Une représentante du Tribunal International de Droit Coutumier en Europe, Melanie Vritschan, et le Secrétaire de terrain Kevin Annett donneront bientôt une conférence de presse internationale, pour étayer les preuves et répondre à ces nouvelles menaces. Restez en attente de nouvelles mises à jour et instructions.

Diffusé par le Bureau d’Information Public du Tribunal International de Droit Coutumier – Haute Cour de Justice, Bruxelles, le 24 juillet 2014, 15H00 GMT.

Remarque :
*La Sainte Alliance, service secret du Vatican (qui n’en a toujours pas reconnu l’existence) a été fondé en 1566 sur l’ordre de Pie V, auquel est venu s’ajouter en 1910 un département de contre-espionnage, le Sodalitium Pianum.
« Si le pape ordonne d’exécuter quelqu’un pour défendre la foi, on le fait sans poser de questions.  Il est la voix de Dieu, et nous son bras d’exécution».
Paluzzo Paluzzi, dirigeant de la Sainte Alliance au XVIIème siècle.










mercredi 23 juillet 2014

Génocide, Notre crime sans conséquence : La grande dissimulation continue

Génocide, Notre crime sans conséquence :
La grande dissimulation continue 
Et quelques réflexions sur ce qui va suivre

 

Par Kevin D. Annett, le 6 juillet 2014

http://youtu.be/EdoAuxxrS0k

Les enfants qui sont systématiquement violés et torturés ne sourient pas, malgré la convenance de façade qu'ils doivent afficher sur les photographies officielles. C'est pourquoi j’ai su que les livres qui venaient de paraître, sur lesquels je suis tombé sur un stand de journaux de Vancouver, n’étaient pas simplement des conneries, mais étaient très bien conçus, avec des images en couverture principale de jeunes aux visages joyeux, de jeunes bien soignés. Mais du fait que les livres sont en rapport avec les pensionnats Indiens, le mensonge est non seulement acceptable, mais nécessaire aujourd'hui plus que jamais, ici au Canada.

Notre Grand Nord Blanc a traversé une période difficile, récemment, en luttant pour faire face aux faits que j’ai, plus que quiconque, contribués à rendre publics ; des charniers d’enfants indiens de couleur, les témoins oculaires qui ont creusé les tombes, et les volumes de statistiques et de lettres prouvant que plus de 50 000 innocents ont été délibérément anéantis par l'église et l'Etat pour se débarrasser du «problème indien». Des responsables politiques nationaux, comme Gilles Duceppe, ont commencé à évoquer publiquement « des morts en masse », évocation accompagnée des bêtises habituelles sur « les excuses et la réconciliation », et le mot de G.. a même surgi au cours des références médiatiques sur les «écoles». Mais les choses en sont restées là; et cette période est terminée.

De nos jours, l'horloge est délibérément ramenée en arrière, et rapidement, le souvenir et la raison sont une fois de plus attaqués par un Big Brother qui a plus que du sang sur les mains. Maintenant, nous allons revenir à l'époque où les dirigeants de l’église responsables de ce crime et de sa dissimulation, peuvent affirmer publiquement sans conséquences, que leurs motivations concernant les Indiens n'étaient que pures. Et les charniers d’enfants, bien sûr, demeurent fermés.

Toute l’histoire d’un meurtre concocté de l’intérieur est une fois de plus officiellement effacée, comme le sont ceux qui comme moi l’ont méticuleusement documentée, et l’ont fourrée sous le nez du « tout-Canada ». Et puisque c'est tout ce à quoi l’on peut s‘attendre, je suppose que l'on doit soit simplement en rire, soit dégainer l'épée à nouveau.

Franchement, il est plus difficile pour moi une fois encore de lever l'ancienne bannière de l'Holocauste Canadien, car les gens sont généralement plus bêtes de nos jours, y compris les «progressistes» autoproclamés qui n'aiment pas entendre parler de crimes commis dans leur propre arrière-cour. La politique éditoriale qui est en place dans les principaux médias du Canada, qui est de ne jamais mentionner mon nom ou citer mon travail, a eu son effet mortel. Et même si nos campagnes contre la torture des enfants en haut-lieu se sont répandues dans le monde, directement inspirées par notre divulgation réussie sur le génocide au Canada ; c'est comme si ce crime n'avait jamais eu lieu, car il n'y a pas eu de conséquences pour ceux qui en sont responsables. Il n'y en aura jamais, en vertu de la convention canadienne en vigueur.

Ce qui nous amène, comme on dit, au cœur de la question.
Nous ne devrions pas avoir à vivre avec le crime, ou à le financer. C'est juste la décence la plus élémentaire. Mais la loi va plus loin et dit que nous n’avons pas à laisser faire et ne devons pas nous associer à de tels actes malveillants. Et cette simple vérité commence tout juste à entrer dans le crâne bien épais du Canada, à savoir que nos dirigeants et nos églises ont non seulement rendu nulle notre allégeance à leur égard de par leurs fautes, mais ont également été déchus de leur droit d’exister. Le Canada, tel que vous le connaissiez, n’est plus.

J'ai dit cela récemment à l’un des agents de la Police Montée locale, en lui montrant l’ordre de démission émis envers lui et ses semblables par ordonnance du Tribunal International de Droit Coutumier condamnant son supérieur à Londres qui s’appelle elle-même la reine des crimes contre l’humanité. 

"Vous n'êtes pas dans l’obligation de servir une criminelle " J'ai informé le flic. Il a eu l'air troublé, mais il n’a pas contesté, et a emporté l’ordonnance avec lui.

De plus en plus d’événements se conjuguent pour former la vague de changement, alors qu’une simple contestation cède la place à quelque chose de tout à fait nouveau dans notre pays : une réappropriation active de notre pays, sous la bannière d'une nouvelle nation appelée la République du Kanata. 

Certaines des nouvelles âmes brillantes de ce mouvement sont beaucoup plus jeunes que moi, heureusement. L'une d'elles est une jeune agricultrice du Saskatchewan, qui a fait reculer l’administration fiscale frauduleuse du gouvernement canadien, en lui faisant renoncer à saisir sa terre, en utilisant nos preuves pour montrer que les Tribunaux de la « Couronne » n’ont plus ni légitimité ni statut juridique au Canada.

Un autre tueur gigantesque appartenant à notre mouvement, Steve Finney, de Kitchener, en Ontario, a forcé les tribunaux locaux à renoncer à leurs activités de trafic d’enfants, et même à leur faire reconnaître qu'ils opèrent en tant que tribunaux de fait plutôt qu’en tant que tribunaux publics légaux.

Steve et la jeune agricultrice et des douzaines de gens comme eux se rassembleront à Winnipeg le 27 Octobre prochain pour aider à fonder une nation libre de tout le passé criminel et de la corruption. Cette République du Kanata sera l'une de nos réponses au Grand Mensonge du Canada, et à tous ces enfants massacrés toujours sous terre, et d’autres qui sont victimes du trafic et du viol par des hommes riches et protégés à l’heure où nous parlons. 

Alors que le temps de brandir des pancartes devant les églises tueuses d’enfants est peut-être révolu, le temps de saisir ces églises est arrivé ! Et cela vaut pour les Tribunaux aussi bien que pour le Parlement, et aussi toutes ces banques d’argent et d'or qui drainent la richesse de notre pays. 

Où une porte se ferme, une autre s'ouvre toujours: même quand il s'agit de génocide. Donc, longue vie à la République, restez à l'écoute pour plus d’information et de comptes-rendus du front … et montez à bord ! 

http://youtu.be/EdoAuxxrS0k

Pour plus d’informations sur la Convention Constitutionnelle fondant la République du Kanata à Winnipeg le 27 Octobre, écrivez à republicofkanata@gmail.com

vendredi 18 juillet 2014

Le Peuple contre le Pape Bergoglio et les autres - Enoncé du jugement des Magistrats du Tribunal



 Le Peuple contre le Pape Bergoglio et les autres
Enoncé du jugement des Magistrats du Tribunal
incluant la décision à la majorité et une opinion discordante

Etabli par la Chambre du Conseil vendredi 18 Juillet, 2014
Le Jugement du Tribunal est unanime concernant les trois principaux accusés : Jorge BERGOGLIO, Adolfo PACHON et Justin WELBY lesquels ont été inculpés et reconnus coupables pour avoir assisté et encouragé des Crimes contre l’Humanité, incluant l’assassinat et le trafic d’êtres humains avec leur participation personnelle à ces actes criminels. Leur culpabilité a été savamment présentée, et prouvée par l’Instruction au-delà de tout doute raisonnable.
La défense ayant refusé de répondre à une Convocation légale à comparaitre afin de se présenter pour nier ou présenter des arguments contre les accusations qui lui sont reprochées ou bien, de présenter un dossier contre les accusations, le Tribunal à été amené à prendre en compte leur silence de fait comme un aveu de culpabilité pro confesso, laquelle culpabilité a été établie par le refus de plaider. Pro confesso s’appuie sur la jurisprudence, lorsque l’accusé fait défaut, et par le refus de la défense de présenter des éléments pour plaider dans un dossier de la plus haute importance, et qui fournit les fondements de l’inculpation légitime de la déchéance des chefs et des responsables au sommet de l’Eglise et de l’Etat. (Cas : Le Peuple au Parlement, contre Charles Stuart, le 3 janvier 1649)
Dans cette jurisprudence, la Haute Cour de Justice saisie par le parlement  en Angleterre, a démontré que le silence des chefs d’Eglise et d’Etat, lorsqu’ils sont accusés de crimes contre leur propre peuple revient, par les inculpés, à admettre tous les chefs d’accusation contre eux (22 janvier 1649)
Un de nos collègues présente une opinion discordante.
Bien qu’il y ait accord sur le jugement, établissant que les trois accusés soient inculpés et reconnus coupables, le magistrat qui présente une opinion discordante considère que le jugement par défaut pro confesso s’applique seulement lorsqu’il n’y a pas d’autres moyens existants de prévenir la tyrannie et les guerres perpétrées contre leurs propre peuples et leurs libertés par leurs dirigeants, comme dans le cas historique précité.
Le collègue dont l’opinion diffère, affirme qu’en reconnaissant principalement l’inculpation des accusés en suivant la jurisprudence, un précédent pro confesso, la culpabilité de ces crimes doit être démontrée et constituée selon la doctrine et interprétée selon les dispositions en matière de jurisprudence.  Afin de citer l’affirmation de notre collègue,
« La culpabilité écrasante de ces dirigeants pour des crimes inqualifiables exige que nous les reconnaissions coupables non seulement sur la forme mais aussi sur le fond, appuyée par des preuves irréfutables, de manière à ce que leur culpabilité soit limpide, sans équivoque pour le monde, et la postérité. »
Le Tribunal a pris en considération cette opinion dans la formulation de son jugement définitif.
En conséquence, le jugement unanime du Tribunal est :
1.    Les accusés Jorge BERGOGLIO, Adolfo PACHON et Justin WELBY sont reconnus coupables sur deux points : l’organisation, l’assistance et l’encouragement de Crimes contre l’Humanité, ce qui inclut l’assassinat et le trafic d’êtres humains, et : pour avoir participé personnellement à des viols rituels réguliers, à la torture et l’assassinat d’enfants.
2.  Les accusés sont condamnés à la prison à perpétuité sans possibilité de liberté conditionnelle, ni de remise de peine, ainsi     qu’à la confiscation et la saisie de tous leurs actifs, liquidités, biens immobiliers et la déchéance d’autorité.
3.    Les Shérifs assermentés par le Tribunal et les Unités d’Action Directe assignées par la Haute Cour le 1er Juin dernier sont tenus d’exécuter les ordonnances d’arrestation et d’incarcération des condamnés dans les locaux indiqués par le Tribunal, et de saisir également tous leurs biens et leurs actifs. On demande au public d’aider les Shérifs dans leurs tâches. « Un mandat d’arrêt International Citoyen » va être émis par le Tribunal contre les individus inculpés dans les 48 heures qui suivent ce jugement.
4.    Le Tribunal fera une déclaration officielle publique pour clarifier sur le point de droit, de la condamnation des accusés de ce procès, et qui s’appuie entièrement sur des preuves matérielles de leur culpabilité, et leur refus de plaider.  Par conséquent, le jugement par défaut, pro confesso, a été un facteur contributif mais non le fondement déterminant pour rendre son verdict.
5.    De plus, il ressort que, cette condamnation ne soit pas limitée à de simple dirigeants au sommet de régimes meurtriers, en conséquence,  au 1er septembre 2014, le Tribunal va mettre en place une cellule d’Enquête Permanente pour mener les investigations et procéder aux instructions permettant de poursuivre d’autres individus impliqués dans ces actes criminels; lesquels sont enregistrés dans les archives permanentes du Tribunal.
Cette cellule d’Enquête sera désignée La Commission Permanente sur les trafics d’enfants, et les Sacrifices Rituels, et aura toute autorité pour émettre des citations à comparaître, arrêter et juger des actes criminels dans un Tribunal. La Commission aura une latitude Internationale, sans restriction de prescription et cherchera une coopération avec les gouvernements, les services de renseignements internationaux et les forces de l’ordre afin d’instruire, de poursuivre et arrêter définitivement le trafic d’êtres humains, la torture rituelle, et l’assassinat d’enfants.

6.    Afin de protéger cette Commission, leurs témoins, les officiers, et les preuves dans : Le Peuple contre J. Bergoglio et les autres, les enregistrements du Tribunal lors du procès resteront scellés dès à présent y compris l’identité des témoins, les greffiers et les fonctionnaires, sauf autorisation expresse et unanime du Tribunal de la Haute Cour. De plus, les Jurés qui ont été désignés lors du procès sont libérés de leurs obligations et remerciés de leurs efforts.
7.    Ceci conduit à la clôture du procès du Peuple contre Bergoglio et les autres.
Adressé par le Conseil Judiciaire du Tribunal International de Droit  Coutumier Haute Cour de Justice, à Bruxelles -   Le samedi 19 Juillet 2014
Remarque :
Charles Ier fut accusé de trahison contre l'Angleterre pour avoir utilisé son pouvoir pour ses intérêts personnels plutôt que pour le bien de la nation. Les accusations contre Charles Ier spécifiaient que le roi, « pour accomplir ses desseins et pour s’entretenir, lui et ses adhérents, dans les pratiques coupables auxquelles il se livrait à cette intention, a malicieusement pris les armes contre l’actuel Parlement et le peuple qu'il représente par traîtrise » et que les « desseins pervers, guerres et pratiques pernicieuses dudit Charles Stuart, ont eu et ont pour objet d’entretenir l'intérêt personnel de sa volonté, de son pouvoir et d'une prétendue prérogative attribuée à lui et à sa famille, au préjudice de l'intérêt public, des droits et des libertés du peuple, de la justice et du repos de cette nation.  La Haute-Cour de Justice présidée par John Bradshaw comprenait 135 commissaires mais seulement 68 y participèrent réellement (tous de fervents parlementaires) ; l'accusation était menée par l'avocat général John Cook. Le procès de Charles Ier pour haute-trahison et « autres hauts-crimes » commença le 20 janvier 1649 mais Charles Ier refusa de se défendre en avançant qu'aucun tribunal n'avait le pouvoir de juger un monarque. Il considérait que son autorité venait de Dieu et des traditions et lois d'Angleterre et que le pouvoir revendiqué par ceux qui le jugeaient venait simplement de la force des armes. Charles Ier insista sur le fait que le procès était illégal en expliquant que « quant aux lois du pays, aucun jurisconsulte instruit n'affirmera, j'en suis certain, qu'on puisse porter une accusation contre le roi puisque toutes s’effectuent en son nom. Une de leurs maximes est que « le roi ne peut faire mal». Lorsqu'on lui imposa de plaider, il réaffirma son objection en déclarant « Faites-moi donc connaître par quelle autorité légitime je suis ici et je ne refuserai pas de répondre». À l'inverse, le tribunal proposa une interprétation de la loi qui légitimait le procès : « la proposition fondamentale est que le roi d'Angleterre n'est pas une personne mais une fonction dont chaque occupant reçoit un droit limité à gouverner « par et selon les lois du pays et non l'inverse ».
Durant la semaine du procès, Charles Ier refusa à trois reprises de plaider. Il était alors courant de considérer que le refus de plaider était équivalent à un aveu de culpabilité. Le roi fut déclaré coupable lors d'une audience publique le 27 janvier 1649 et condamné à mort.

lundi 14 juillet 2014

Qui se cache vraiment derrière le trafic d’enfants ?


Qui se cache vraiment derrière le trafic d’enfants ? 

En suivant la piste de l’argent autour de la Planète


Un reportage exclusif de Kevin D. Annett

« Les cartels se sont lancés dans le trafic d’êtres humains, emprisonnant des candidats à l’immigration pour exiger de grosses sommes d’argent liquide pour passer la frontière, ou bien obligeant des candidat(e)s à l’immigration à servir de mules pour transporter la drogue ou à se prostituer.  L’ancienne Banque Wachovia (maintenant Wells Fargo), la Bank of America, et la Western Union ont gagné ou continuent de gagner des millions avec l’argent de la drogue collecté aux Etats-Unis et renvoyé au Mexique pour être blanchi …  General Dynamics, Motorola et Raytheon font de juteuses affaires en participant au projet de sécurisation des frontières (lancé en réponse au trafic d’êtres humains). » - The Washington Spectator, du 1er juillet 2014

« Le syndicat du crime appelé La Ndrangheta procure les enfants pour les meurtres sacrificiels aux Pays-Bas, ceux dont j’ai été témoin, y compris les parties de chasse à l’homme. On l’appelle « L’Octopus » (La Pieuvre) aux Pays-Bas. Ils sont impliqués jusqu’au cou dans le trafic d’êtres humains grâce au contrôle qu’ils exercent sur la police et les politiciens. » - Témoignage de « Joséphine », avocate en retraite et témoin oculaire, lors de sa déposition au Tribunal International de Droit Coutumier, Haute-Cour de Justice, à Bruxelles, en juin 2014

« La Ndrangheta est une organisation criminelle de type Mafieuse, originaire d’Italie (de Calabre, Ndt.), qui a largement remplacé l’ancien modèle de Cosa Nostra. La Ndrangheta est actuellement l’organisation criminelle la plus puissante et la plus riche d’Italie et peut-être d’Europe, avec un chiffre d’affaires annuel estimé à au moins  53 milliards € (soit 72 milliards $) et provenant du trafic de drogue, de l’extorsion de fonds et du blanchiment d’argent. » - Wikipedia.org

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Le crime rapporte beaucoup : c’est pourquoi il se perpétue. 
Et rien ne rapporte plus que le trafic d’êtres humains, tout particulièrement des enfants.


Le trafic d’enfants n’est pas simplement organisé pour une bande de malades pervers : c’est une industrie mondiale très rentable. Et ce fait est souvent brouillé par ceux qui se mobilisent pour accuser des personnes malfaisantes, alors qu’il s’agit  « de membres de familles royales qui ressemblent à des reptiles » ou de prêtres pédophiles et de papes, commettant des massacres systématiques d’un grand nombre d’innocents.

Les détails de cette industrie mondiale sont apparus, presque par hasard, lors du procès pénal du Tribunal International de Droit Coutumier, Haute-Cour de Justice contre  «le Pape François » Jorge Bergoglio et les autres complices pour trafic d’êtres humains, particulièrement des enfants.

Le procès a commencé par l’acte d’accusation des dirigeants des Eglises Catholique et Anglicane pour leur implication prouvée de sévices atroces infligés aux enfants ou leur complicité avec les auteurs. Ce procès tenu à Bruxelles, a depuis le mois de mai permis de mettre au grand jour des informations internes sur les cartels privés qui procurent des enfants pour être violés, torturés puis assassinés, et sur leurs liens avec les personnes actuellement incriminées par la Haute Cour de Justice.

Le mois dernier, j’ai été contacté par une avocate néerlandaise à la retraite dont l’ex-mari est un membre du syndicat du crime qui fournit les enfants et les adolescents utilisés pour « les parties de chasses rituelles » en Belgique. Je l’appellerai Joséphine. Nous avons discuté trois fois sur skype, et ses témoignages enregistrés figurent maintenant dans les archives du Greffe du Tribunal International de Droit Coutumier, Haute Cour de Justice.

Selon Joséphine, son ex-mari et d’autres membres de « La Pieuvre » - le vocable qui désigne la Ndrangheta, la nouvelle Mafia – ont fourni dix enfants et des adolescents qui ont été chassés et tués, puis mutilés, par des gens riches dans des forêts près d’Oudergem en Belgique, au printemps 2000 et en 2004.

« J’étais là, j’ai assisté à tout. On m’a dit qu’il s’agissait d’enfants issus de centres de détention pour mineurs de Bruxelles. On les lâchait en liberté dénudés dans la forêt puis, on les chassait et on les tuait comme le gibier. Parmi les meurtriers figuraient le Prince Friso des Pays-Bas et un ami de son épouse, le millionnaire George Soros, le Premier Ministre néerlandais Mark Rutte, et le Prince Albert de Belgique. Après avoir tué les jeunes gens ils leur ont coupé le pénis et les ont brandis comme des trophées, sous les hourras et les applaudissements. »

Etant confirmées par d’autres témoignages internes, ces descriptions macabres pourraient nous faire perdre de vue le panorama de l’histoire dans sa globalité, et les motifs sous-jacents du crime. La Ndrangheta, par exemple se procure la jeune « chair à canon », grâce à ses liens étroits avec l’église Catholique Romaine opérant des enlèvements d’enfants sous la direction des officiels du Vatican. Selon Matteo Macceo, un membre du Parti Radical au Parlement italien :
« La Mafia moderne est constituée des mêmes personnes qui dirigent l’église catholique et le gouvernement Italien. Ils sont indissociables, ils font tous partie du même club. Et leur préoccupation principale est leurs actifs, une richesse qui provient du crime organisé : le trafic de drogue, le trafic d’armes, et le trafic d’êtres humains. » (Extrait d’une déclaration faite à l’auteur à Rome, en avril 2010)

L’église Catholique est de loin, sans équivoque le plus grand trafiquant de nouveau-nés dans l’histoire de l’humanité, engrangeant des millions chaque année en faisant le commerce des nouveau-nés catholiques avec des orphelinats, des centres d’aide sociale à l’enfance et des tiers anonymes. Rien qu’en Espagne, 300 000 enfants ont fait l’objet d’un trafic entre 1940 et 1980, rapportant plus de 20 milliards $. (cf. témoignage d’Antonio Barrero devant l’ICLCJ). Et l’actuel Pape François, lui-même sous le coup d’une inculpation, est l’organisateur de ce genre d’opération marketing sur les enfants, de plus de 30 000 prisonniers politiques en Argentine lors de son passage de façade à la junte militaire dans les années 1970 et 1980. (Témoignage du Témoin N° 32 devant l’ICLCJ)

Ce commerce d’esclaves officiel  est directement lié à des organisations criminelles telles que la Ndrangheta qui fournit les débouchés commerciaux catholiques, marchandant les bébés dans des lieux sûrs, contrôlés par le syndicat du crime, assurant la protection politique et juridique de leurs associés au Vatican. 

« Pour chaque prêtre pédophile ou chaque religieuse vendant un nouveau-né, il y a dix autres personnes qui les protègent, mettent de l’huile dans les rouages, et payent les pots-de-vin, afin que tout se passe en douceur et dans la dissimulation. Et la Ndrangheta montre sa vilaine tête dans tout ce « business » a déclaré un membre du Bureau du Procureur général de la Cour de Bruxelles, qui conduit les poursuites contre Jorge Bergoglio et les autres.

Et encore, la Ndrangheta n’est qu’une partie visible d’un cartel mondial plus vaste spécialisé dans le trafic d’êtres humains esclaves, modernisé et financé par les principales banques à travers le blanchiment régulier de l’argent de la drogue au profit des banksters. Ces banques comprennent la Bank of America, J.P Morgan et HSBC, laquelle a récemment reconnu avoir blanchi plus de 2 milliards $ de recettes provenant de la drogue pour les syndicats du crime Mexicains. 

Cet empire économique est étroitement lié aux divers trafics de drogue et d’êtres humains renforcé politiquement par le recours régulier à la prostitution enfantine, par les agences de renseignements. L’activité sert à faire chanter les politiciens et dirigeants politiques en vue pour les contrôler. « La CIA admet avoir trempé dans le trafic d’enfants, selon ses révélations en 2008 affirmant que depuis la Guerre du Vietnam elle avait fait fonctionner « ce guet-apens» du cercle de la prostitution enfantine afin de faire pression sur leurs opposants politiques, à Bangkok et à Séoul. » (Rock Creek Free Press, Washington)

Tout est dit, la récente révélation impliquant les familles royales et des églises dans les sacrifices rituels d’enfants ne semble représenter qu’une des pointes de l’Iceberg du crime organisé dans les hautes-sphères. De fait, la présence  conjointe de la Ndrangheta et son lien direct avec le Vatican dans tous ces crimes envers les enfants,  ont fait rebondir les poursuites contre le Pape François et les autres qui, comme les accusés nazis de Nuremberg, sont les symboles d’un système entier de corruption et de mort qui doit être définitivement anéanti.
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La publication de nouvelles preuves et mises à jour de la part de la Haute Cour de Bruxelles se poursuivront.
Le 14 juillet 2014